AINP
Menu icoMenu232Dark icoCross32Dark
<
>
  • Traitements et chirurgie
  • Kinésithérapie
  • Soutien psychologique
  • Activité physique
  • Thérapie psychocorporelle
  • Coussin
  • Conseils à l'entourage

Ajoutez un logo, un bouton, des réseaux sociaux

Cliquez pour éditer
  • AINP
  • Accueil ▴▾
  • Comprendre ▴▾
    • Symptômes
    • Errance médicale
    • Impact psychologique
    • Douleur chronique
    • Où consulter ?
    • Peut-on guérir ?
  • Se soigner ▴▾
    • Traitements et chirurgie
    • Kinésithérapie
    • Soutien psychologique
    • Activité physique
    • Thérapie psychocorporelle
    • Coussin
    • Conseils à l'entourage
  • Agir ensemble ▴▾
    • Les écoutants
    • Professionnels de santé spécialisés NP
    • La Newsletter
    • Faire connaître notre pathologie
  • L'association ▴▾
    • Qui sommes nous
    • Nos actions
    • L'équipe de bénévoles
  • Contact ▴▾
    • Contacter l'AINP
    • Contactez les écoutants
  • J'adhère
  • Faire un don
  • Se connecter
  • Symptômes
  • Errance médicale
  • Impact psychologique
  • Douleur chronique
  • Où consulter ?
  • Peut-on guérir ?
  • Traitements et chirurgie
  • Kinésithérapie
  • Soutien psychologique
  • Activité physique
  • Thérapie psychocorporelle
  • Coussin
  • Conseils à l'entourage
  • Les écoutants
  • Professionnels de santé spécialisés NP
  • La Newsletter
  • Faire connaître notre pathologie
  • Qui sommes nous
  • Nos actions
  • L'équipe de bénévoles
  • Contacter l'AINP
  • Contactez les écoutants
Traitements et chirurgie Kinésithérapie Soutien psychologique Activité physique Thérapie psychocorporelle Coussin Conseils à l'entourage

Association agréée par le ministère de la santé

Activité physique : bouger pour aller mieux

.

La névralgie pudendale signifie souvent l’arrêt de toute activité sportive ; dans certains cas, même la marche lente sur de courtes distances devient difficile. Pourtant, il est important de reprendre cette activité dès que possible, en privilégiant des sports doux et en se fiant à ses sensations.

C’est une tendance générale de la médecine actuelle : les patients sont encouragés à reprendre une activité physique le plus vite possible après un accident, une opération ou une maladie qui les a immobilisés. L’idée n’est plus d’attendre d’aller mieux pour bouger, mais de bouger pour aller mieux.

Cette règle s’applique à la névralgie pudendale : la reprise d’une activité physique modérée et adaptée à chacun doit être un objectif pour les patients. Elle a plusieurs avantages :

• atténuation des douleurs pendant l’effort : le cerveau génère des endorphines, une hormone dont l’action antalgique est établie ;

• possibilité de pratiquer avec d’autres et de renouer des liens sociaux ;

• reprise d’une activité qui apporte du plaisir.

Les sports à proscrire

Faites des tests de courte durée et fiez-vous à vos sensations : choisissez les sports qui n’aggravent pas ou ne réveillent pas vos douleurs.

Évitez les pratiques qui vous exposent au risque de chute ou de chocs : patin à glace, course à pied, rugby, ski alpin, alpinisme, rollers, etc.

Enfin, renoncez définitivement au vélo (route, VTT, BMX, etc.) et à l’équitation, qui soumettent votre nerf à une très forte pression et à une répétition de micro-chocs. Il faut savoir que les cyclistes assidus sont nombreux parmi les patients atteints de névralgie pudendale.

Cet abandon peut être très difficile à accepter pour les passionnés de ces sports. Mais le risque de rechute grave et durable est extrêmement élevé : une seule sortie peut réduire à néant plusieurs mois d’amélioration. Les plus motivés trouvent des solutions alternatives, par exemple le vélo couché. Mais elles doivent être testées avec une extrême prudence, et de manière très progressive. Si les douleurs reviennent, il faut savoir arrêter.

Les sports à privilégier  

Deux sports conviennent à une majorité de patients :

• La marche à pied et la randonnée, en dosant avec prudence la distance, le dénivelé et le chargement du sac. Si vous pratiquiez déjà, ne cherchez pas à refaire tout de suite vos sorties « d’avant » : allez-y progressivement.

• La natation : vous ne portez qu’un neuvième du poids de votre corps grâce à la poussée d’Archimède, et vous pratiquez en position horizontale, sans appui sur le nerf. Les mouvements s’effectuent en douceur et toutes les parties du corps travaillent. Toutes les nages sont possibles.

Copyright © 2025 -/- illustrations et photos conçues par Freepik -/- www.freepik.com
AINP 12 Place Saint-Martin 44860 Pont Saint-Martin - contact.ainp44@gmail.com - Tél : 06 08 63 53 20
  • Plan du site
  • Licences
  • Mentions légales
  • CGUV
  • Paramétrer les cookies
  • Se connecter
  • Propulsé par AssoConnect, le logiciel des associations Médico-Sociales